L'autoportrait de ma personne exterieure, "The Alex"
L'article qui va suivre me présente dans un travail de français.
Je viens d'avoir 14 ans, le sixième de ma vie. Au physique, je suis de taille moyenne, plutôt petit. J'ai les cheveux coupés court afin d'éviter qu'ils me cachent les yeux. Autant que je puisse en juger, les traits caractéristiques de ma physionomie sont : un menton distingué de la nuque au tracé plutôt rectangulaire ; une bouche de nature peu souriante ; un nez promis à une certaine taille par delà mes ascendants, qui se trouve être aujourd'hui plat ; de petits yeux plissés bleus, qui ne montrent leur vrai grandeur seulement dans des lieux sombres ou il nécessite une attention particulière pour voir plus loin que ce qui se présente devant eux.
Ma peau même en hiver n'est jamais complètement blanche, la dorure installée dessus marque mon origine espagnole. Le dos de mes mains laisse apparentes quelques veines, la paume de ma main est parsemée de traits en tout genres, attirant le regard vers mes petits doigts. Mes jambes possèdes une masse musculaire importante qui ne me donne pas une impression de hauteur. A cause du sport que je pratique, mon biceps droit est plus développé que le gauche. J'apprécie de me vêtir à la mode mais pas de me distinguer par ce moyen. Je ne garde pas longtemps le même avis sur mon physique, une fois je me sens d'attaque à me montrer devant touts le monde et une autre fois je me dis que je ferais mieux de retourner me coucher.
Quelques gestes me sont familier : me pincer le nez ; me ronger les ongles ; pencher légèrement la tête sur la gauche ; pousser un soupir accompagné d'un "oh !" lorsqu'une chose qui m'étonne m'est communiquée ; me pincer les lèvres lorsqu'une personne m'agace ou quand on me prend en flagrant délit en train de faire une bêtise ; coincer mes dents entre mes joues pour m'empêcher de rire ; contracter ma narine droite ; poser quand je suis assis sur un banc mes coudes sur mes genoux ; etc.
Ces gestes, j'espère les abandonner un à un, au moins pour la plupart. Peut-être aussi vais-je seulement en changer et les remplacer par de nouveaux que je ne dénicherai pas ? Je passe tant de temps à me regarder, à me contempler, il n'y a sans nul doutes des choses qui m'échappe, et vraisemblablement parmi les plus apparentes, puisqu'un tableau de moi, peint selon ma propre perspective a de grandes chances de laisser dans l'ombre certains détails qui, pour les autres, doivent être les plus flagrants.